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Une rencontre extraterrestre avec un photographe
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Carlos Diaz, photographe mexicain, aperçoit, et prend en photo un ovni sur un parking désert...
Le cas du contacté Carlos Diaz constitue une rareté ufologique : C'est un dossier qui repose sur des photographies apparemment indiscutables. Nous avons reconstitué les événements survenus en cette année 1981 au Mexique.

Un matin de janvier 1981, le photographe mexicain Carlos Diaz pénètre sur le parking désert du Parc d'Ajusco, près de Mexico. Il a rendez-vous avec un journaliste dont il doit illustrer un article sur le parc pour un magazine de Mexico. Étant le premier arrivé,Diaz reste assis dans sa voiture tout en vérifiant et préparant son matériel photographique. Bien que ce soit tôt le matin, l'air est déjà imprégné d'humidité au point que le seul fait de rester assis devient vite inconfortable.
Diaz commence à consulter sa montre avec impatience car le soleil va bientôt se lever et il n'a pas commencé à effectuer ses repérages. Soudain,son attention est attirée par une étrange lumière jaune montant de la vallée qui s'étend au-dessous de lui. Il pense d'abord à un feu de forêt mais, un instant plus tard, la source lumineuse se dévoile :un grand ovni orangé, de forme ovale, plane à une trentaine de mètres de sa voiture.
N'en croyant pas ses yeux, Diaz saisit sur le champ son appareil. L'ayant calé sur le volant, il prend une série de clichés à toute vitesse. Sentant la voiture violemment secouée, Diaz finit par sortir du véhicule en prenant encore deux photos.Ce seront les dernières : l'engin file à la verticale dans le ciel, laissant le Mexicain sous le choc.

Cette surprenante rencontre marqua le début de ce qui allait rapidement devenir l'un des cas de contacté les plus fascinants et les plus longs dans le temps de l'histoire de l'ufologie. Aujourd'hui encore, ce dossier demeure, parmi la petite minorité des supposées rencontres avec des extraterrestres, appuyé par des documents photographiques ayant résisté aux examens de toute une série d'experts.

UN CAS EXCEPTIONNEL
L'apparente véracité des affirmations de Diaz attira l'attention des meilleurs ufologues au monde. Parmi eux, l'écrivain allemand Michael Hesemann et John Mack, le spécialiste américain des enlèvements. Tous deux ont conclu que l'histoire de Diaz était parfaitement crédible. Hesemann a d'ailleurs reçu l'assentiment de toute la communauté ufologique en assurant, lors d'une conférence de presse, que «Etayé par des documents de qualité, l'histoire de Carlos Diaz est un cas contemporain de contact entre un humain et un ovni de première importance. »
Pourtant, cette rencontre, déjà exceptionnelle, n'était qu'une première étape et Diaz était loin de se douter de ce qui allait suivre.

En effet, il restait au photographe mexicain à vivre une série d'événements impressionnants qui allaient faire passer, ce qui n'était au départ qu'une observation de plus dans une région large- ment reconnue comme un point chaud ufologique, à un des cas les plus importants de ces dernières décennies. Dans les jours qui suivirent son observation,
Diaz resta bien entendu préoccupé par l'expérience qu'il avait vécue. Incapable d'oublier ce qu'il avait vu, il retourna régulièrement au Parc d'Ajusco, avec l'espoir de faire d'autres photos. Après une succession de visites infructueuses à différentes heures du jour et de la nuit, Diaz commença à se dire qu'il perdait son temps. Mais, le 23 mars, sa patience finit par être récompensée.

LE RETOUR DE L'OVNI
Alors qu'il parcourait les étendues verdoyantes, les yeux rivés au ciel, Diaz fut soudain conscient de la présence d'un ovni par une lueur orange qu'il croyait distinguer au travers de l'épais brouillard et de la pluie saturant la forêt du Parc d'Ajusco. Il remonta donc précipitamment à pied le long du flanc de la vallée, et s'efforça de se placer à environ 45 m de l'objet.

Là, le photographe put observer tranquillement «l'appareil» qui planait au-dessus de lui et dont émanait une lumière orange brillante. Selon les propres descriptions de Diaz, «il était en forme de dôme avec un anneau lisse en son milieu et était recouvert de nombreuses demi-sphères d'environ un mètre de diamètre chacune».
Accroupi derrière des rochers, Diaz se croyait en sécurité. Absorbé par l'observation de l'engin, il ne sentit pas qu'une présence s'était s'approchée de lui, dans son dos. Tout à coup, on lui empoigna l'épaule et Diaz s'évanouit immédiatement. Quand il reprit conscience, la nuit était tombée et l'ovni n'était plus là.

Il découvrir que ses vêtements étaient complètement secs alors que, manifestement, la pluie n'avait pas cessé de tomber. C'est alors qu'il comprit que quelque chose de vraiment étrange lui était arrivé. Diaz retourna au parking quelque peu «sonné». Il ouvrit le coffre de sa voiture pour ranger son matériel et il sursauta violemment car, au moment où il referma le coffre, il vit une entité humanoïde avec des cheveux blonds près de lui. S'exprimant en anglais, clairement mais avec une voix sans tonalité, elle lui dit que s'il désirait en savoir plus sur ce qui lui était arrivé, il n'avait qu'a revenir au même endroit le lendemain à midi.

« J'ÉTAIS AU RENDEZ-VOUS »
Après avoir dormi d'un sommeil de plomb, Diaz revint sur le parking. Sous le soleil zénithal, l'entité l'attendait, assise en tailleur sur l'herbe. Le photographe se souvient : « L'être me regarda longuement sans rien dire. Comme il m'avait fixé rendez-vous, j'attendais qu'il prenne la parole. Enfin, il finit par m'expliquer que c'était lui qui m'avait empoigné par l'épaule la veille. Il me raconta qu'une fois inconscient, il m'avait emmené à l'intérieur de son vaisseau. Selon lui, je devais en retrouver peu à peu le souvenir. »

Effectivement, comme cela le lui avait été prédit, la mémoire revint progressivement. Diaz se souvint que l'engin avait plané au-dessus de sa tête et quand il avait essayé de le toucher, sa main avait paru être absorbée par la lumière jaune.
L'épisode suivant dont il se souvenait était l'appareil posé sur une plate-forme dans une caverne immense. Ses souvenirs de l'endroit devinrent très précis: «Il y avait plein de stalagmites dont certaine étaient gravées de sculptures ressemblant à celles des Mayas. La caverne était peuplée de ces êtres étranges. Certains m'ont fait des signes de la main et, sans pouvoir m'en empêcher, je leur ai aussi fait signe. » Le «guide» de Diaz l'aurait guidé ensuite entraîné vers une cavité plus étroite abritant sept objets lumineux en forme d'œuf mais à l'échelle humaine. À sa grande surprise, Diaz fut invité par l'entité à en choisir un et à s'installer dedans en position fœtale.

VISION FŒTALE
Une fois à l'intérieur, Diaz ne vit d'abord qu'une lumière jaune. Puis il se retrouva entouré par l'image d'une forêt. «Je pouvais en distinguer chaque détail, comme si je m'y promenais. J'en sentais la température, l'humidité et l'odeur de l'humus montant du sol. Je pouvais tout voir et tout ressentir sans y être présent physiquement. » Son guide lui apprit que ces « œufs » constituaient également un système d'archivage de l'information. Certaines données lui avaient déjà été transmises mentalement. Puis Diaz avait été raccompagné au vaisseau et déposé dans le parc.

À en croire Carlos Diaz, ceci ne fut que le premier d'une série de contacts avec les mêmes êtres, contacts qui se poursuivent toujours actuellement. Depuis 1981, Diaz affirme que des séjours répétés dans les objets en forme d'œuf lui ont permis de «voyager» dans différentes zones de l'éco-système terrestre (forêts, déserts, jungles, bords de mer et même dans les régions arctiques) le tout en compagnie de son contact extraterrestre. Grâce à ce dernier, Diaz affirme avoir pris une conscience toute particulière de l'interconnexion existant entre toutes formes de vie et du besoin impérieux de préserver notre environnement.

PREUVES INDISCUTABLES ?
Pourtant, à la suite des déclarations alarmistes de Carlos Diaz sur les questions environnementales, la communauté ufologique, jusqu'alors unanime pour accorder le plus grand crédit aux témoignages du photographe, s'est mise à douter. C'est le journaliste mexicain et ufologue Jaime Maussan, au centre des enquêtes sur les ovnis au Mexique depuis le début de la vague en 1991, qui rappela que les photographies de Diaz étaient parmi les plus impressionnantes qu'il lui ait été donné de voir.
Ayant confié ces images à Jim Dilettoso, directeur de la société Village lab notamment chargée d'analyser des visuels pour la NASA, cet expert américain avait conclu à l'authenticité du travail de Diaz. Maussan rendit ensuite visite à Diaz chez lui, à Tepoztlan, où il put également interroger d'autres témoins prétendant avoir vu exactement le même type d'ovni.

La solidité du cas de Diaz a attiré des chercheurs étrangers qui se sont plutôt concentrés sur les «motivations» des extraterrestres tels qu'elles ressortent des déclarations du témoin. L'écrivain allemand Michael Hesemann, qui interviewa Diaz pour la première fois en juin 1994, est convaincu par le ton du narrateur: «Non seulement il a accès à l'intérieur des vaisseaux, mais il affirme aussi avoir des relations sociales avec eux. II est même convaincu que certains d'entre eux vivent parmi nous. »
Se faisant le porte-parole de Diaz, Hesemann suppose que ces extraterrestres refusent de dévoiler précisément leurs origines.
«Ils auraient déjà visité la Terre voilà des milliers d'années et seraient surpris de l'évolution rapide de l'Homme dans cet intervalle. Pourquoi et comment, c'est ce qu'ils tentent d'apprendre.»

UN MESSAGE ÉCOLOGIQUE
L'autre éminent ufologue a être intrigué par le cas Diaz est John Mack. Pour ce professeur de Psychiatrie à l'École de Médecine de Harvard, qui étudie depuis longtemps les déclarations d'abductés et des contactés, le cas Diaz est l'un des plus convaincants et des plus passionnants qu'il ait rencontré. Dans son livre Passport to the Cosmos, il écrit: «Parmi tous les sujets que j'ai rencontré, c'est Carlos Diaz qui semble avoir développé la compréhension la plus riche du réseau d'interconnexion existant au sein de la nature. S'agissant d'établir des liens avec des créatures vivantes, l'expérience de Diaz est si intense qu'il semble littéralement devenir la chose dont il est en train de parler. »

Cette expérience, affirme Mack, constitue un «éveil», un processus, selon lui, courant chez les abductés. La clé de cette transformation spirituelle est une conscience accrue de tout ce qui touche l'environnement doublée d'une profonde passion pour l'écologie. D'ailleurs, Diaz a raconté à Mack que son contact avec les extraterrestres avait instillé en lui le besoin impérieux de préserver la Terre et la capacité «à savoir jouir d'une belle planète ».

Qu'une influence extraterrestre ou non soit à l'œuvre ici, l'engouement de Diaz pour l'environnement est à coup sûr devenu son but dans la vie. Il n'a cessé depuis de transmettre sans cesse, et avec passion, cet avertissement écologique en public, notamment au congrès sur les ovnis qui s'est tenu en 1995 à Düsseldorf, en Allemagne.
Diaz a révélé que ses contacts l'avaient informé que la civilisation extraterrestre avait été, tout comme la nôtre, menacée de destruction au cours de son histoire mais qu'elle avait réussi à survivre. Il reste convaincu que les inquiétantes prédictions pour notre avenir que font ses contacts ne sont que trop réelles: si l'Humanité poursuit dans sa voie actuelle, elle court à sa perte.

PORTE-PAROLE DES EXTRATERRESTRES
Ces déclarations, ajoutées à la publicité faite autour de son expérience, ont fait que Diaz a acquis le statut d'un visionnaire aussi bien dans sa ville de Tepoztlan que dans les milieux ufologiques. Toutefois, le photographe n'a pas tardé à refuser ce rôle, affirmant qu'il n'avait rien d'un visionnaire et qu'il n'était pas autre chose qu'un «messager». Si on laisse de côté la question de la véritable nature de la mission de Diaz, pour beau- coup d'ufologues, son cas reste des plus convaincants. En effet, il n'existe que peu de rapports d'observations bénéficiant de preuves photographiques aussi impressionnantes qu'abondantes. Et encore moins qui ont pu survivre aux examens rigoureux subis par les images de Carlos Diaz.


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